Soumissions

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Liste de vérification de la soumission

En tant que partie intégrante du processus de soumission, les auteurs doivent s'assurer de la conformité de leur soumission avec tous les éléments suivants, et les soumissions peuvent être retournées aux auteurs qui ne sont pas conformes à ces directives.
  • La soumission n'a pas déjà été publiée et n'est pas considérée actuellement par une autre revue. Si ce n'est pas le cas, fournir une explication dans le champ "Commentaires au rédacteur".
  • Tous les co-auteurs sont encodés dans le formulaire de soumission et ont marqué leur accord sur la soumission de l'article.
  • Le fichier de la soumission est dans un des formats de fichier suivants : OpenOffice/LibreOffice, Microsoft Word, RTF ou Markdown.
  • Lorsque possible, les URLs ou les DOI des références ont été fournies.
  • Le texte est à double interligne, utilise une police de 11 points, emploie l'italique plutôt que le souligné (sauf pour les adresses URL) et place toutes les illustrations, figures et tableaux aux endroits appropriés dans le texte plutôt qu'à la fin.
  • Le texte se conforme aux exigences stylistiques et bibliographiques décrites dans les Directives aux auteurs, qui se trouvent ci-dessous.
  • Les aspects éthiques ont tous été intégrés.
  • La contribution individuelle de chacun des co-auteurs est précisée.

Directives aux auteurs

La longueur maximale du manuscrit est de 5000 mots, à l’exclusion du résumé, des tableaux, des figures et des références (maximum 1000 mots pour une note de recherche).

1. Partie liminaire

La partie liminaire comprend le titre, le titre abrégé, le nom de tous les auteurs et leur affiliation, le résumé et les mots-clés. Le titre, le titre abrégé, le résumé et les mots-clés sont fournis dans les deux langues de la revue (anglais-US et français).

Le résumé en anglais est enregistré, sans modification, dans les bases de données internationales qui indexeront l'article. Il constitue donc, avec le titre et les mots clés, une source d'information importante pour les lecteurs potentiels.

1.1. Titre

Le titre est informatif ou descriptif. Il doit représenter le message principal de l'article.

Un titre abrégé (dans la langue de l'article), de maximum de 55 caractères (espaces comprises), doit aussi être proposé. Le titre abrégé est repris en en-tête de l'article, une page sur deux.

Pour les articles de synthèse, « synthèse bibliographique » ou « review » doit figurer dans le titre.

1.2. Auteurs

Dans la liste des auteurs, le nom de l'auteur correspondant est identifié à l'aide d'une astérisque. L'affiliation de ce dernier est complétée par son adresse électronique. Le nom de famille suit le ou les prénoms, en toutes lettres.

BASE accepte que deux premiers auteurs soient considérés comme co-premiers auteurs et que deux derniers auteurs soient considérés comme co-dernier auteurs.

L'affiliation des auteurs est rédigée conformément aux directives institutionnelles. Elle débute généralement par le nom de l'institution suivi par le nom de la faculté, du département et/ou du laboratoire et se termine par l'adresse postale et le pays.

1.3. Résumé (structuré)

Le résumé comporte de 100 à 250 mots (150 mots maximum pour les notes de recherche). Il ne contient ni référence, ni tableau, ni figure. Il doit être lisible indépendamment du texte de l'article. Il doit obligatoirement être structuré en cinq parties ayant respectivement pour titres : « Description du sujet », « Objectifs », « Méthode », « Résultats » et « Conclusions ». Une structuration, en trois parties, est également d’application pour les synthèses bibliographiques (Introduction, Littérature, Conclusion).

Le résumé en anglais sera repris tel quel dans les bases de données internationales qui signaleront l'article. Il constituera donc, avec le titre et les mots-clés, un élément d’appréciation important.

1.4. Mots-clés

Entre six et dix mots-clés sont fournis (dans les deux langues) à la suite des résumés. Ils expriment les notions essentielles de l’article. Leur fonction est de faciliter l’indexation de l’article et sa recherche dans les bases de données documentaires.

Les mots-clés doivent être choisis et traduits dans AGROVOC, le thésaurus agricole multilingue de la FAO (http://aims.fao.org/fr/ standards/agrovoc/functionalities/search). Celui-ci est utilisé dans près de 90 pays et propose une structure basée sur les relations entre concepts normalisés.

Il faut éviter de reprendre des mots déjà présents dans le titre et dans le résumé.

2. Corps du texte pour les articles et notes de recherche

Le corps du texte est structuré suivant le modèle IMReD. Chacune des parties joue un rôle précis. Elles représentent les étapes de la démonstration.

2.1. Introduction

L'introduction doit indiquer le sujet (de quoi parle-t-on exactement ?) et se référer à la littérature publiée (ce que l'on sait déjà). Elle doit présenter la ou les hypothèse(s) (la question qui est posée).

L'objectif de cette partie est de mettre en avant l'intérêt du travail qui est décrit dans l'article et de justifier le choix des hypothèses et de la démarche scientifique.

2.2. Matériel et méthodes

Cette partie décrit avec précision (sauf si déjà bien décrit dans la littérature) le protocole expérimental et la nature des données collectées.

L'objectif est de permettre l'évaluation de la qualité du plan expérimental et de la solidité des résultats. Cette description doit donner la possibilité à un autre chercheur de reproduire une expérimentation semblable ou d'utiliser la même méthode dans une autre expérimentation.

Pour les articles en recherche animale, il y a lieu de mentionner le numéro du protocole expérimental et le nom de la commission d'éthique animale qui a approuvé le protocole.

2.3. Résultats

Les résultats sont présentés sous la forme de figures, de tableaux et/ou de descriptions. Il n'y a pas d'interprétation des résultats dans cette partie. Il faut particulièrement veiller à ce qu'il n'y ait pas de redondance inutile entre le texte et les illustrations (tableaux ou figures) ou entre les illustrations elles-mêmes.

2.4. Discussion

La discussion met en rapport les résultats et la ou les hypothèses de départ. Dans cette partie, on peut rappeler l'originalité et l'intérêt de l'article (et de la recherche). On peut, éventuellement, expliquer des résultats ou observations non attendus.

Il faut mettre en avant les conséquences pratiques qu'implique cette recherche. Il faut aussi être critique, présenter les limites de la recherche décrite sans pour autant dénigrer le travail réalisé.

Il s'agit de la discussion des résultats de la recherche décrite dans l'article. Il ne faut pas reprendre des éléments qui auraient leur place dans l'introduction.

La discussion se termine par une conclusion circonstanciée qui peut être présentée sous un titre à part.

Des phrases peuvent être extraites de cette partie et citées dans d'autres articles ou ouvrages.

2.5. La note de recherche

Le cas particulier de l'article de recherche est la note de recherche. Le choix de rédiger une note de recherche peut être justifié par :

  • la nécessité de présenter des résultats basés sur un jeu de données réduit mais suffisant ;

  • la présentation de l'adaptation d'une méthodologie existante ;

  • des travaux pour lesquels la méthode n'est pas nouvelle mais pour lesquels un apport est fait par rapport à une variété ou une région.

3. Corps du texte pour les articles de synthèses

3.1. Introduction

L'introduction précise le sujet, les limites et la portée du travail. Cette introduction présente aussi le choix de la structuration de la partie « Littérature » et la méthodologie utilisée pour la recherche documentaire (mots-clés, bases de données et sources particulières, critères de sélection).

3.2. Littérature

C'est la partie principale de l'article de synthèse. Elle contient une discussion sur les différentes sources retenues. La sélection de ces références (limitées à 50) est essentielle. Il faut éviter les sources redondantes en choisissant les références principales.

Dans cette partie, les informations sont organisées et regroupées en fonction de l'évolution du sujet dans le temps, suivant les points de vue et les écoles et en fonction des différents aspects du sujet. L'apport critique de l'auteur doit être clairement identifiable.

L'article de synthèse n'est pas une suite de descriptions mais une analyse critique. Il faut éviter de commencer toutes les phrases de cette partie avec un nom d'auteur.

3.3. Conclusions

Cette partie résume les principaux apports de la littérature, identifie les zones d'accords et les zones de controverses. Elle précise les questions qui attendent encore des réponses.

4. Corps du texte pour les articles méthodologiques

La structure d'un article méthodologique est identique à celle d'un article de recherche. Il est conseillé de proposer quelques résultats, à titre d'exemple au moins.

5. Normes

5.1. Noms et organismes

Tout organisme vivant, à sa première mention dans le texte et le résumé, est cité par son nom scientifique complet, suivi des parrains. Dès la deuxième citation dans le texte, le genre est abrégé (sauf s'il commence une phrase).

5.2. Composés chimiques

Les règles internationales en matière de nomenclature émises par la IUPAC (International Union of Pure and Applied Chemistry, 1987) sont suivies. Le nom scientifique de certains composés étant très long, les auteurs peuvent joindre, à la première mention du nom commun du composé, son numéro d’enregistrement CAS (Chemical Abstracts Service).

5.3. Composés biochimiques

BASE suit les recommendations de l’IUBMB (International Unionof Biochemistry and Molecular Biology, 1992) et de l'IUPAC (International Union of Pure and Applied Chemistry). Les noms commerciaux qui seraient utilisés en complément sont signalés par un « * » et accompagnés de l’identification du fabricant.

5.4. Majuscules

Les sigles s'écrivent toujours en lettres capitales (sans point). Les lieux géographiques ou les organismes uniques (noms d'institutions) également. Il faut utiliser les lettres capitales systématiquement dans les noms propres ou les noms de marques.

5.5. Ponctuation

Les phrases se terminent par un point final, un point d'exclamation, un point d'interrogation ou des points de suspension. Le point final se met avant ou après le guillemet fermant, suivant le contexte. Il n'est jamais doublé.

La virgule sépare les parties d'une proposition ou d'une phrase à condition qu'elles ne soient pas déjà réunies par les conjonctions et, ou, ni. Elle sépare aussi les énumérations. On ne met pas de virgule avant une parenthèse, un tiret ou un crochet. Si une virgule est nécessaire, elle vient après.

Le point-virgule sépare différentes propositions de même nature. Le deux-points introduit une explication, une citation, un discours, une énumération. Les points de suspension sont toujours au nombre de trois (on leur préfère néanmoins « etc. »).

Les parenthèses intercalent une précision dans la phrase. Les crochets indiquent une précision à l'intérieur d'une parenthèse ou une coupure dans une citation. Le texte entre parenthèses ou entre crochets doit rester court pour ne pas casser le rythme de lecture. Il n'y a pas d'espace à l'intérieur des parenthèses ni des crochets.

5.6. Enrichissements (gras et italique)

Dans le corps du texte, le gras est utilisé dans les titres ou pour mettre un mot en valeur. Pour que la mise en valeur soit bien visible dans le texte, son usage doit être limité.

L'italique est utilisé pour les citations dans le texte, pour les mots en langue étrangère (y compris le latin) non traduits, pour les noms de marques et de produits (de bases de données par exemple) et pour les titres de périodiques et de livres.

Le souligné est seulement utilisé pour les liens hypertextes.

5.7. Énumérations

Les énumérations sont introduites par un deux-points. Les énumérations de premier rang sont introduites par un tiret et se terminent par un point-virgule, sauf la dernière qui se termine par un point final. Les énumérations de second rang sont introduites par un tiret décalé et se terminent par une virgule.

5.8. Nombres

Les nombres de un à dix sont écrits en toutes lettres. Ils s'écrivent en chiffres lorsqu’il s’agit de quantités suivies d’une unité de mesure. Ils s'écrivent également en chiffres si des nombres à une unité de base (de un à neuf) et des nombres à deux unités de base ou plus (plus de neuf) se retrouvent dans la même phrase et désignent des unités de même nature.

En début de phrase, un nombre, quel qu’il soit, est toujours épelé. Les années sont indiquées en quatre chiffres.

Les données numériques ne doivent pas comporter plus de chiffres significatifs que la précision des mesures ne l’autorise et d’une manière générale, les auteurs se conforment aux règles de la norme ISO 31 (ISO, 1993).

5.9. Titres et sous-titres

La numérotation décimale est utilisée pour indiquer la hiérarchie des divisions et subdivisions, sans dépasser trois niveaux. Il n'y a jamais de point, de virgule ou de point-virgule à la fin d'un titre.

5.10. Formules mathématiques

Pour composer les formules mathématiques, il est préférable d'utiliser un éditeur d'équations (inclus dans les différents logiciels de traitement de texte). Ces logiciels produisent des images que l'on peut alors placer dans le texte. L'auteur veillera néanmoins à fournir ces images séparément.

Il faut utiliser l'alphabet latin et écrire en italiques les lettres minuscules qui correspondent à des variables, des inconnues ou des indices.

Les noms des fonctions usuelles (sin, cos, ln, log, etc.) sont en lettres normales. Les ensembles de nombres (matrices et vecteurs) sont en capitales grasses et en italique (exemple : A).

5.11. Unités de mesure

Les normes ISO 31 « Grandeurs et unités » et ISO 1000 « Unités SI et recommandations pour l’emploi de leurs multiples et de certaines autres unités » (ISO, 1993) doivent être respectées pour ce qui concerne les grandeurs physiques, les équations, les dimensions et les symboles des grandeurs et des unités. Les abréviations de ces unités peuvent être utilisées sans autre définition. Le litre se note « l ».

Dans le texte, les unités sont épelées, sauf si elles sont précédées d’un nombre, auquel cas c’est l’abréviation internationale qui sera utilisée (min, d, g, m, J, etc.).

Dans l’expression des dimensions d’une grandeur, l’exposant négatif sera utilisé de préférence à la barre de fraction (« m.s-2 » plutôt que « m/s² »).

5.12. Citations

Toute utilisation d'une idée ou du propos d'un auteur doit faire l'objet d'un renvoi bibliographique (même si le document est libre d'accès, dans le domaine public ou s'il s'agit d'une page Web). Il n'y a aucune exception à l'obligation.

Les renvois bibliographiques dans le texte sont au format « auteur-date », entre parenthèses, par exemple : « (Dupont, 2011) ». La pagination n'est pas nécessaire. Pour les documents avec deux auteurs, les deux noms sont indiqués (Brown & Dupont, 2010). Dès qu'il y a plus de deux auteurs, le nom du premier auteur est suivi de "et al." (Brown et al., 2013). Si plusieurs références sont citées ensemble, elles sont ordonnées chronologiquement et séparées par « ; », par exemple : « (Iwai et al., 1980 ; Binoux et al., 1988 ; Dordick, 1989) ».

Les citations textuelles sont placées entre guillemets (guillemets français doubles : « … »). Les citations dans une autre langue sont en italique et entre guillemets. S’il s’agit d’un paragraphe en entier, il faut le faire précéder d’un alinéa. La citation est suivie de la référence, entre parenthèses, en dehors des guillemets.

6. Bibliographie

La bibliographie comporte au maximum 50 références (articles de recherche et articles de synthèse). Pour les synthèses bibliographiques, l’auteur doit préciser dans son manuscrit, à la fin de l'introduction, sa méthodologie de recherche des références bibliographiques.

La présentation de la bibliographie se conforme au style international Harvard adapté à BASE. Pour les utilisateurs de Zotero ou de Mendeley, le fichier de style est à l'adresse : http://infolit.be/BASE_CSL/base.csl (copiez l'URL ou utilisez le fichier CSL téléchargé pour procéder à l'installation du style).

La liste de toutes les références bibliographiques citées dans le texte est présentée en fin d’article, avant les annexes éventuelles. Les références sont classées par ordre alphabétique du premier auteur et par ordre chronologique pour un auteur donné. L’auteur unique précède l’auteur accompagné d’un co-auteur. Il ne faut pas numéroter les références. Lorsqu'il y a plus de quatre auteurs, seul le premier auteur est cité, suivi de "et al.".

6.1. Monographie

Les éléments auteur, année, titre, édition (si différente de la première édition), lieu de publication (ville et pays si la ville n'est pas une capitale) et éditeur sont essentiels.

Agrios G., 1997. Plant pathology. 4e ed. New York, NY, USA; London: Academic Press.

6.2. Article de périodique

Les titres des périodiques sont abrégés selon la liste éditée par l’ISSN International Center, The List of Title Word Abbreviations (http://www.issn.org/2-22661-LTWA-online.php). Ceux qui ne comportent qu’un seul mot ne s’abrègent pas, comme par exemple : Heredity, Endeavour, etc.

Klausmeier C.A., Litchman E., Daufresne T. & Levin S., 2004. Optimal nitrogen-to-phosphorus stoichiometry of phytoplankton. Nature, 429, 171-174.

6.3. Ouvrage collectif (edited book)

Les auteurs, éditeurs scientifiques et éditeurs sont bien différenciés dans la référence. En anglais, le nom du ou des éditeurs scientifiques est suivi de « ed. » ou « eds ». En français, on écrira « éd. » ou « éds ».

Ennos R.A., 1990. Detection and measurement of selection: genetic and ecological approaches. In: Brown A.H.D., Clegg M.T., Kalher A.L. & Weir B.S., eds. Plant population genetics, breeding, and genetic resources. Sunderland, MA, USA: Sinauer Associates Inc., 200-214.

La référence à une conférence dans un compte-rendu de conférences se rédige de la même manière. Elle mentionne, dans le titre, le nom et si possible le lieu et la date de la conférence.

Charudattan R., 1996. Pathogens for biological control of water hyacinth. In: Charudattan R., Labrada R., Center T.D. & Kelly-Begazo C., eds. Strategies for water hyacinth control. A report of a panel of experts meeting, 11-14 September, 1995, Fort Lauderdale, Florida. Roma: FAO, 90-97.

6.4. Thèse

La thèse se décrit comme une monographie, avec le titre du diplôme et le nom de l'université où la thèse a été soutenue.

Fumière O., 2010. Combinaison des techniques de biologie moléculaire et de la spectrométrie dans le proche infrarouge pour l’authentification des denrées destinées à l’alimentation humaine et animale. Thèse de doctorat : Université de Liège - Gembloux Agro-Bio Tech, Gembloux (Belgique).

6.5. Document sur Internet

 Un document sur Internet se décrit comme un document imprimé suivi d'une virgule, de l’adresse Internet complète et de la date de consultation (écrite entre parenthèses).

Shenk J.W. & Shenk J.S., 2008. White paper – Unity Scientific Standardization concept for NIR instrument product lines, http://www.unityscientific.com.au, (24/06/2012).

 

Les citations d’articles « sous presse » ou « accepté » peuvent être incluses dans la bibliographie. Les documents « en préparation », « soumis » ou « communication personnelle » (qui peuvent, à la rigueur, être cités dans le texte), les rapports internes non publiés, les cours et les mémoires ne sont pas des sources fiables et ne peuvent être repris dans la bibliographie.

7. Tableaux et figures

Tous les tableaux et les illustrations sont identifiés par un numéro. Ils sont fournis dans le document avec titres et légendes en français et en anglais. Les légendes doivent être complètes et permettre de comprendre l’illustration ou le tableau sans se référer au texte.

Dans le texte, la référence aux illustrations et aux tableaux est obligatoire : « (Tableau 1) », « (Figure 5) » ou « comme le montre la figure 5 ». Les tableaux et les illustrations sont numérotés dans l’ordre de leur citation dans le texte.

L’utilisation d’illustrations (photographies, tableaux, figures ou dessins) extraites d’une œuvre qui n'est pas en libre accès doit toujours faire l’objet d’une autorisation expresse des titulaires du droit d’auteur (il ne suffit donc pas d’en indiquer la source).

7.1. Tableaux

Idéalement, les colonnes des tableaux doivent être réalisées avec la touche tabulation.

Le tableau ne contient que des données (dates, texte, nombres, pourcentage...), il ne contient ni formules, ni macro.

Le titre du tableau se place avant le tableau.

7.2. Figures

Les illustrations sont fournies au format *.JPG ; *.GIF ; *.EPS ou *.TIF, avec une résolution comprise entre 300 et 600 dpi. Quand il s’agit d’images vectorielles, elles peuvent être envoyées en format EPS.

Les dessins, graphiques, organigrammes, etc. sont conçus de manière à s’inscrire sur l’emplacement d’une colonne (largeur 8,5 cm, hauteur maximum 18 cm) ou de deux colonnes (largeur 17,5 cm, hauteur maximum 18 cm).

L’épaisseur des traits n’est pas inférieure à 0,25 mm. Les caractères sont en Helvetica neue regular ou Arial 9 points.

Pour les graphiques, la dénomination des axes se fait en conformité avec le texte. Elle est suivie des unités de mesure, entre parenthèses. Elle est placée parallèlement aux axes, à une distance de ceux-ci proportionnée aux dimensions du dessin.

Les ombrages (trames) trop sombres et les grandes surfaces noires sont à proscrire. Les figures ne doivent pas être entourées d’un cadre. Les axes des graphiques sont tracés en noir.

Le titre de la figure se place après la figure.

8. Soumission

8.1. Fichiers

Le manuscrit doit être déposé au format .DOC, .DOCX ou .ODT, le corps du texte en Times 11, double interligne. Les lignes et les pages sont numérotées (numérotation continue). Les manuscrits peuvent aussi être soumis au format markdown.

Afin d'accélérer le processus de mise en page, il ne faut pas utiliser les petites majuscules, le formatage des paragraphes, les en-têtes et bas de page automatiques ou les renvois dans le texte.

8.2. Dépôt

Les manuscrits sont déposés sur cette plateforme. La lettre d'accompagnement :

  • présente les points forts et l'originalité de l'article soumis ;

  • précise que tous les auteurs ont pris connaissance de l'ensemble des instructions (plus particuièrement en ce qui concerne le plagiat, les fraudes et les conflits d'intérêt) et ont marqué leur accord sur la dernière version du manuscrit. L'agrément des organismes de tutelle des auteurs est supposé acquis ;

  • précise la contribution individuelle de chacun des co-auteurs ;

  • suggère cinq lecteurs pour lesquels il n'y a pas de risque de conflit d'intérêt ;

  • argumente une éventuelle demande de prise en compte de deux co-premiers et/ou de deux co-derniers auteurs.

L'auteur s'engage à ne pas prendre contact avec les lecteurs qu'il a suggérés. Si tel était le cas, le comité de rédaction se réserve le droit de refuser l'article.

La lettre contient une déclaration sur l'honneur de l'absence de conflit d'intérêt (financier, commercial, contractuel, brevets).

Tous les envois font l'objet d'un accusé de réception transmis (courrier électronique) à tous les auteurs c’est pourquoi il est essentiel et obligatoire que l’auteur principal encode le nom et l’e-mail des co-auteurs dans le formulaire dédié lors de la soumission.

Déclaration de confidentialité

Les noms et courriels saisis dans le site de cette revue seront utilisés exclusivement aux fins indiquées par cette revue et ne serviront à aucune autre fin, ni à toute autre partie.